Rien de mieux que les plages du Nord pour s’extraire de la pression quotidienne. J’aime ces plages désertes, vastes étendues de sable battues par le vent où la mer et le ciel se confondent.

On peut y marcher des heures et tout oublier. Cela permet de distinguer l’essentiel de l’accessoire.

Les rares promeneurs sont comme des tout-petits points perdus dans l’horizon. On y puise une provision d’air marin pour toute l’année !

On en aura bien besoin en 2012 car, dès le 2 janvier, il ne restera que 16 semaines avant le 1er tour de l’élection présidentielle…

Chers lecteurs, je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année.

Rendez-vous pour un nouveau billet l’année prochaine.